|
Sont
membres de la CNRA les fédérations de radios
associatives suivantes :
ARJ
- Association des Radios Juives
CRAL
- Coordination
des Radios
locales Associatives de Lorraine
D4C
- Fédération
Union D4C
FAR
- Fédération
des Radios Associatives de la Réunion
FARA
- Fédération
Alsacienne des
Radios Associatives
FRALA
- Fédération
des Radios
Associatives Limousin Auvergne
FRAMA
- Fédération
des Radios
Associatives Maine - Anjou
FRANC-MP
-
Fédération des Radios
Associatives Non Commerciales Midi Pyrénées
FRANC-RA
-
Fédération des Radios
Associatives Non Commerciales Rhône-Alpes
FRANF
- Fédération
des Radios
Associatives du Nord de la France - http://www.franf.fr.fm/
FRTC
- Fédération
des Radios et
Télévisions Chrétiennes
GRANC’OISE
-
Groupement des Radios
Associatives Non Commerciales de l’Oise
et
le COLLÈGE DES RADIOS
NON
FÉDÉRÉES
totalisant à ce jour 230
adhésions de radios confirmées en 2008
|
N°
173 - mardi 16 septembre 2008 |
RADIO FSER : les effets de la baisse des recettes
publicitaires du service publique se fait-elle déjà ressentir ?Le FSER est alimenté par une taxe fiscale prélevée sur les régies publicitaires des radios et télévisions. L’annonce de la suppression de la publicité sur le service public dés le 1er janvier 2009 a provoqué une chute de ces recettes en 2008 estimée à 20% d’après les spécialistes du dossier.
Jusqu’à présent les recettes du FSER n’ont pas pâti de cette situation.
Les recettes du premier trimestre du FSER (correspondant à la taxation
des recettes du dernier trimestre 2007 des régies) ont été tout à fait
conformes aux prévisions initiales (correspondantes à celles réalisées
avant l’annonce de la suppression de la publicité sur le service public). Les recettes du second
trimestre du FSER ont quant à elles été supérieures de plus 1 million
d’Euros aux estimations. Cette bonne nouvelle pour laquelle nous avons
réclamé des explications, restées malheureusement sans succès, pouvait avoir
de multiples causes (effet enfin constaté de la montée en puissance des
TV de la TNT,
régularisation de la situation fiscale de l’une des régies
contribuables, régularisation d’une erreur d’affectation fiscale,
sursaut conjoncturel du marché publicitaire en début d’année 2008…).
Au troisième trimestriel 2008 les recettes de la taxe alimentant le
FSER sont en en recul de plus de 1 million d’euros par rapport au même
trimestre de l’année dernière. Cette baisse inquiétante
s’explique-t-elle par un recul du marché publicitaire sur les chaînes
de télévision du service publique tel qu’annoncé ? Correspond-elle en
fait à une régularisation qui interviendrait en contrepoint des sommes
perçue au second trimestre, et supérieures d’un million par rapport aux prévisions ?
Aucune explication n’est donnée pour l’instant,
ces informations étant
couvertes par le secret fiscal. Une chose est certaine : si cette
baisse
correspond à l’impact de la baisse des recettes du service publique en
publicité, son impact net sur l’année 2008 sera d’au moins 1
million d’euros (soit l’équivalent de 25% de la subvention sélective
versée aux radios en mars / avril).
La CNRA,
très
active sur ce dossier, rencontrera dans le mois Monsieur Mathieu
Gallet, conseiller technique pour l’audiovisuel auprès de madame Le
Ministre de la Culture
et de la
Communication. Au
cours de ce rendez vous, qui était initialement calé pour la fin
juillet 2008 et reporté par le ministère, notre confédération
veut obtenir : - La confirmation officielle des dispositions
(mécanisme de financement) et montants négociées par notre tutelle
auprès de Bercy dans le cadre du projet de loi de finance 2009. dans le
cadre annoncé d’une budgétisation du FSER. Cette information devient cruciale. -
La confirmation que le nouveau système ainsi que ses niveaux de
financements seront bien garanti pour les trois ans à venir comme la DDM à semblé nous l’assurer lors de notre dernier congrès à Montpellier. -
La confirmation que ces dispositions tiendront bien compte des nouveaux
besoins (croissants dés 2009) liés au financement de la radio numérique. - La confirmation de l’ouverture de sessions de travail entre la DDM
et les organisations représentatives de notre secteur afin d’étudier la
mise en œuvre d’un Etablissement Public susceptible d’une part à abriter le
mécanisme du FSER et d’autre part à construire les conditions de
développement efficaces et indépendantse pour la communication sociale de
proximité. Très
rapidement votre confédération sera en mesure de vous informer sur la suite de ce dossier vital pour toutes nos radios
Le Conseil
adopte un plan de fréquences optimisé
Afin
d'assurer un succès rapide au lancement de la radio
numérique, le Conseil supérieur de l'audiovisuel a entrepris des
travaux visant
À l'optimisation du plan de fréquences.
Ces
travaux ont abouti À substituer des canaux en
bande III À l'ensemble des canaux initialement planifiés en
bande L, ce
qui répond À la demande de nombreux Éditeurs représentant
l'ensemble des
catégories du secteur de la radio. La date de départ des dossiers reste
fixée
au 1er octobre 2008.
Pour
consulter le texte de la décision du Conseil.
http://www.csa.fr/actualite/decisions/decisions_detail.php?Id=127159
Les radios
associatives ne peuvent que se réjouir de la
libération des canaux en bande III pour la diffusion numérique.
Les
demandes de la
CNRA a propos de la bande III, ainsi que le
report de l'appel
aux candidatures au 1 octobre ont été entendues par le CSA.
Il
est à rappeler l'émission en Bande L était en moyenne
30% plus chère que d'émettre en bande III pour une couverture moindre.
La
faiblesse de sa couverture risquait de la destiner aux radios
associatives.
Ces
deux avancées montrent que le dossier de la radio
numérique est extrêmement complexe. De nombreuses difficultés planent
sur cette
migration. Mais ce que l'on pourrait comprendre comme une avancée
avantageuse
pour les radios associatives, montre que le dossier de la radio
numérique est extrêmement
complexe et que beaucoup de zones d'ombre planent sur cette migration
avec :
-
Un choix de norme difficilement compréhensible : le
T-DMB que la
France
est la seule À avoir choisi pour le moment.
-
Une absence de visibilité sur les financements. On
attend les arbitrages budgétaires gouvernementaux et la loi de finance
voté par
le parlement qui arrivera après le départ des dossiers.
-
Un manque d'information sur l'approvisionnement en
récepteurs dans les magasins lors des premières Émissions.
-
Une absence de visibilité sur les prochains appels
aux candidatures avec la norme T-DMB et DRM (une autre norme autorisée
en
France).
Le
risque de voir la part des radios associatives
fortement diminué dans le paysage audiovisuel français est important
À
cause de la complexité et de la mouvance des décisions.
Néanmoins,
sans tomber dans le catastrophisme, il est
important que les radios associatives soient présentes lors des
premiers appels
aux candidatures.
Cette
présence permettra de :
-
Montrer la présence des radios associatives et leurs
volontés d'exister dans le paysage audiovisuel
-
Faire des demandes présentes auprès de nos autorités de
tutelle afin que des aides financières et pratiques soient mises en
place pour
les radios de catégories A.
-
Demander que l'arrivée de la radio numérique n'amplifie
pas la fracture numérique.
Un
document de 17 pages pour aider les radios À
remplir le dossier de la première vague est disponible auprès de votre
fédération régionale.
- Caracteristiques Techniques.doc :
destiné à répondre au chapitre «Caractéristiques Techniques »
du dossier.
- Engagements
financiers.xls :
dossier Excel pour remplir le dossier « Engagements financiers ».
- Engagements
financiers.doc : Ce
document explicite le tableau sur les engagements financiers.
- JO
appel CSA du 070908.pdf :
Modification du plan de fréquence qui remplace les multiplex en bande L
pour
des multiplex en bande III.
Nota :
L’abandon de la Bande L était
une demande
de la CNRA. En effet, son cout
d’exploitation mais surtout
sa très faible couverture InDOR et sa faible couverture à puissance
égale par
rapport à la bande III en faisait une sous bande très certainement
inaudible.
Il s’agissait là d’un risque de traitement très discriminant pour nos
radios
par rapport aux radios commerciales trop important pour l’accepter.
Radios numériques terrestres
Les radios
associatives
compulsent leurs dossiers Radio Numérique Terrestre à déposer avant le
1er
octobre prochain.
Au-delà des
considérations
techniques ou philosophiques, vous vous êtes posé la question du
financement...
Le
gouvernement s'est engagé à
financer la migration de l'analogique vers le numérique pour l'ensemble
des
radios associatives existantes !
Par
conséquent, la
CNRA vous encourage à
indiquer comme unique financeur du numérique le
FSER à la hauteur des dépenses
à engager.
En effet, la CNRA
vous déconseille de vous
aventurer dans d'hypothétiques ressources propres alors qu'aucune
collectivité
locale ne subventionnera un service radiophonique sans auditeurs
potentiels...
Le numérique
correspond à une
volonté politique... et bien laissons aux politiques la faculté de
payer la
facture !
Dans tous les
cas de figure, la
CNRA vous conseille de vous
porter candidat... Ne soyons pas les exclus de cet hypothétique mode de
diffusion.
Entretien
avec
Madame le Ministre de la Culture lors du forum de
l’UMP à Royan ce 5 septembre.
Question : Dans un
écho sur le journal les Échos d’hier, il était
écrit qu'il y avait une possibilité pour que le dividende numérique
soit
attribué pour 60 % aux télécommunications et pour 40 % seulement à
l'audiovisuel et à la radio.
Madame le ministre
: Je
pense que le dividende numérique doit être attribué
prioritairement à l'audiovisuel et à la radio et pas aux
télécommunications. Si
on veut voir la télévision haute définition et la radio numérique se
développer, comme la télévision portable individuelle, il y a
évidemment besoin
du dividende numérique. Bien sûr, on ne va pas tout prendre pour les
télécommunications, mais il faut d'abord laisser la place au
développement du
secteur radios et de l'audiovisuel à mon avis.
Question : Donc pas
d’arbitrage budgétaire envisagé ?
Madame le ministre : Non il ne
faut pas arbitrer trop
tôt.
Question : Autre
question pour revenir aux radios associatives.Nous
avons actuellement de graves inquiétudes car nous
sommes à quelques semaines du vote du budget de l'audiovisuel. On nous
a déjà
laissé entendre que notre financement était déjà réduit parce que les
rentrées
publicitaires étaient inférieures de 1 million d'euros au premier
trimestre 2008.
L'argent rentre moins
bien au Fonds de Soutien à l'Expression Radiophonique.
Mme Franceschini et vos services comme le
conseiller à
l'audiovisuel Mathieu Gallet que nous n'avons pas encore vu, les
rendez-vous
étant reportés de mois en mois, ne nous apportent pas de réponses sur
l'abondement de ce fonds lors de notre passage au budget de l'État. Est-ce que
nous ne risquons pas un gel budgétaire, et où
allez-vous trouver l'argent puisque le service public n'aura plus
d'argent pour
cela ?
Madame le ministre : Je ne peux
pas pour le moment faire d’annonces budgétaires
parce que je suis à 15 jours du budget, mais on est attentif aux radios
associatives. Je
vais évidemment demander
à mon cabinet que vous soyez reçus. Je regrette que cela n'ait pu se
faire.
J'espère que l'on n'aura pas un mauvais budget notamment pour la
communication,
et je pense qu'il faut soutenir le fonds à l'expression radiophonique.
Question :
Oui madame le ministre, mais la Constitution
dit que
pour des dépenses données il faut trouver des recettes correspondantes.
Où trouverez-vous des recettes ?
Madame le ministre : Écoutez,
il faut que je regarde plus précisément,
mais il est certain que l'aide qui a été apportée aux radios
associatives doit
être maintenue parce qu'elles sont une expression de la démocratie
extrêmement forte,
et on avait déjà eu
l'occasion de se le dire. Mais je vais en reparler pour avoir des
réponses.
Radio Gazelle...suite Le
Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a demandé à
France Maghreb 2 qui avait obtenu la fréquence de la radio associative
marseillaise Radio Gazelle de L"cesser d'émettre dans les plus brefs
délais", a-t-on appris mercredi auprès du comité de soutien à Radio
Gazelle et du CSA.
Le CSA a
demandé à la SARL Groupe Norsucom
qui exploite la fréquence 98 MHz sous le nom France Maghreb 2 de
"cesser
d'émettre dans les plus brefs délais", précise son président, Michel
Boyon, dans un courrier transmis à l'avocat de Radio Gazelle et dont
l'AFP a
obtenu une copie. Le CSA a
confirmé mercredi à l'AFP cette demande de cesser
d'émettre pour France Maghreb 2. Le 11
juillet, le Conseil d'Etat avait annulé la décision
du CSA de refuser une fréquence à la radio associative marseillaise
Radio
Gazelle et d'attribuer cette dernière à France Maghreb 2.
Le Conseil d'Etat avait notamment jugé que les arguments
du CSA pour écarter Radio Gazelle étaient entachés "d'inexactitude
matérielle".
Il l'avait enjoint de réattribuer la fréquence en question
dans un délai de trois mois.
Radio
Occitania en deuil : Roger nous a quitté...
La
CNRA
s'associe à la douleur de l'équipe de Radio Occitania pour vous faire
part du
décès de Roger Lemonier, leur directeur d’antenne, survenu le 18 août
dernier.
Fer de lance de la station toulousaine, homme de spectacle passionné
par toutes
les professions qu’il a exercé (chanteur, architecte, ingénieur son)
nous
garderons de Roger l’image d’un grand professionnel, mais aussi d’un
homme
souriant, rieur et à l’écoute des autres et toujours prêt a rendre
service. Au
delà de la qualité de son travail nous déplorons la perte d’un ami
cher, sans
lequel radio Occitania ne sera plus vraiment la même tant sur les ondes
que
dans nos cœurs.
Avis d’autorisation
de réémetteurs de faible puissance paru au
Journal Officiel du samedi 23 août 2008. Peut-on
conclure que n’importe qui est désormais
autorisé à utiliser un transmetteur FM ?
Plus
que l'avis du CSA, c'est surtout l'arrêté du 18 août qui porte
modification du tableau national de répartition des fréquences qui le
permet.L'information manquante n’est pas publiée au JO, mais
seraprochainement sur le web de l'ANFR (Annexe A7 du tableau national
qui reprend tous les dispositifs de faible puissance). Elle permettra
(en principe) de connaître la puissance maximum autorisée.
Dernière mise à jour disponible icihttp://www.anfr.fr/pages/tnrbf/A7.pdf
Liaisons
par faisceau 8,5 GHz
Ceux
d’entre-vous qui utilisent pour acheminer le signal audio (ou MPX) du
studio
vers l’émetteur un faisceau hertzien en 8,5 GHz ou en 23 GHz ont dû
recevoir au
mois de juin une facture de l’ARCEP, dont le montant est égal ou
inférieur à 50
€. HE OUI, c'est nouveau, mais de quoi s’agit-il ?
Il s’agit
d’une redevance de GESTION ! En effet l’usage de ces
fréquences reste
gratuit pour nos radios, mais il faut payer les frais occasionnés par
la
gestion de cette gratuité… !! Si on lit les décrets qui
régissent le
fonctionnement de l'ARCEP ils prévoient de faire
« participer » les
utilisateurs de liaisons hertziennes de fréquences supérieures à 470
MHz aux
frais de gestion de la boutique.
Ils instaurent aussi une taxe d'usage, mais en ce qui concerne les
radios
autorisées par le CSA qui font des liaisons "point à point" elles
sont EXONOREES de celle-ci. Reste néanmoins la taxe de gestion,
déterminée par
un arrêté du 1er sinistre et exigible au 30 juin de l'année 2008.
POUR EN
SAVOIR PLUS VOICI LES TEXTES, décortiqués et élagués en ne
gardant que ce qui nous concerne.
Décret
n°2007-1532 du 24 octobre 2007 relatif aux redevances d'utilisation des
fréquences radioélectriques dues par les titulaires d'autorisations
d'utilisation
de fréquences délivrées par l'Autorité de régulation des communications
électroniques et des postes.
Les
titulaires d'une autorisation d'utilisation de fréquences (…) sont
assujettis :
- au
paiement d'une redevance annuelle domaniale de mise à disposition de
fréquences
radioélectriques
- au
paiement d'une redevance annuelle de gestion dont le montant est
destiné à
couvrir (…) la gestion du spectre hertzien et des autorisations
d'utilisation
de fréquences (…)
Article
11 : Sont exonérés du paiement de la redevance domaniale : (…)
- les
éditeurs de services de radios visés au quatorzième alinéa de l'article
29 de
la loi n° 86-1067 modifiée du 30 septembre 1986 relative à la liberté
de
communication. ( C’EST NOS RADIOS ASSOCIATIVES)
Article
12 : Le montant annuel, exprimé en euros, de la redevance de
gestion est
égal :
- au
produit d'une constante de référence " G " par le nombre
d'assignations, pour les assignations ; (C’EST NOTRE CAS).
La valeur
de G est fixée par arrêté du ministre chargé des communications
électroniques.
Arrêté
du 24 octobre 2007 portant application du décret n° 2007-1532
Article 2 :
Conformément aux dispositions de l'article
12 du décret susvisé, la valeur de la constante G est fixée à
50 euros (…).
Article
16 : Le présent décret entre en vigueur le 1er janvier 2008.
(…)
- les
redevances dues pour 2008 sont exigibles au 30 juin 2008.
La FRANC-LR tiendra son AGO le samedi 27
septembre 2008, à partir de 9h30 Maison Pour Tous François Villon à
Montpellier.
Ordre du Jour :
1. Examen des demandes d’adhésion
2. Rapport moral et rapport d’activités 2007
3. Rapport financier et quitus
4. Communications (chantiers 11 et 30, mag régional, archivage, université)
5. Débat sur le programme d’activité 2008-2009
6. Repas
7. Atelier plénière sur l’appel RNT
8. Ateliers séparés :
-Utilisation des Scoopy (présence
escomptée d’un représentant du constructeur)
- Formations (présence du directeur de l’ESJ
et du représentant de l’AFDAS.
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Touzazimuts
Conférence nationale de la vie
associative (05/09/2008)
La conférence nationale de la vie associative, promise par
Nicolas Sarkozy, aura lieu pendant la semaine du 8 au 12 décembre. Les
thèmes
de la conférence seront la promotion et la reconnaissance de
l'engagement
associatif et volontaire et la reconnaissance et la place des
associations dans
le pays. Afin de préparer cette conférence, les préfets, par
l'intermédiaire
des DDVA sont invités à faire remonter auprès de la direction de la vie
associative les attentes des fédérations et des associations ainsi que
des
exemples de bonnes pratiques dans des domaines suivant : rôle des
associations
dans le dialogue civique, meilleure prise en compte des petites et
moyennes
associations, meilleures connaissance statistique de l'apport des
associations
en terme socio-économique, rôle des associations dans la construction
européenne, rôle des associations dans la démocratie; accompagnement,
formation
des dirigeants associatif - professionnalisation, prise en compte de
l'expérience
bénévole dans le parcours d'accès à l'emploi (VAE), engagement des
jeunes :
bénévolat et cursus scolaire, engagement des actifs : bénévolat et
activité
professionnelle, chômage et bénévolat, engagement des seniors :
retraite et
bénévolat; volontariat, service civique, bénévolat une grande cause
nationale
2009, une nouvelle reconnaissance dans l'ordre de la légion d'honneur
et
national du mérite. Ces observations devront être renvoyées au
ministère avant
le 3 octobre. N'hésitez donc pas à contacter vos DDVA pour leur faire
part de
vos observations et leur présenter vos bonnes pratiques.
Attention aux
requalifications du bénévolat en
travail dissimulé (08/09/2008)
Dans
un communiqué de presse du 14 août dernier, l'Accos
averti de la mise en place, la loi de financement de la sécurité
sociale pour
2008, d'une nouvelle sanction qui vient renforcer le dispositif contre
le
travail illégal, depuis le 14 juin. Ainsi, désormais, en cas de travail
dissimulé, les rémunérations des salariés non déclarés sont, à défaut
de preuve
contraire, évaluées forfaitairement pour le calcul des cotisations et
contributions
de Sécurité sociale.
Pour
toute personne non déclarée, l’employeur devra
s’acquitter de cotisations sociales calculées sur une base forfaitaire
de près
de 8 000 euros, soit un montant correspondant à six fois le smic
mensuel. De
plus, l’Urssaf, ou la Mutualité sociale
agricole le cas échéant, a la possibilité
de recouvrer les cotisations calculées sur la base des informations
contenues
dans les procès verbaux de travail dissimulé directement transmis par
l'ensemble des corps de contrôle habilités à la lutte contre le travail
dissimulé. Cette disposition, si elle ne concerne pas directement les
associations, peut cependant avoir des conséquences indirectes,
notamment dans
le cas de requalifications de contributions bénévoles en emploi. En
effet, des
situations peu claires de tiers bénévoles qui vont donner la main pour
une
tâche précise peuvent entraîner des ambiguïtés de lecture de la part
des
inspecteurs du travail. Cela dépend des circonstances dans lesquelles
l’activité est exercée et s’il y a un lien de subordination
caractérisant un
contrat de travail. Les services de contrôle apprécient au cas par cas
la
réalité du bénévolat indiqué, cette appréciation se faisant sous le
contrôle
des tribunaux. En principe, le bénévolat est écarté si les trois
éléments qui
caractérisent le travail salarié ne sont pas réunies, soit : la
fourniture d’un
travail, le paiement d’une rémunération, l’existence d’un lien de
subordination
juridique.
Lire le communiqué de l'Acoss
CALENDRIER
Commissions FSER : 19 septembre, 10 octobre, 24 octobre , 14 novembre Rencontre avec Mathieu
Gallet : le 24 septembre
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